Re: Ça pique, ça mord 2022

[Tom]

[center]Sous la jupe d'Aeonium tabuliforme : Uloborus plumipes.

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[Tom]

[center]La chair d'Echeveria carnicolor se pare d'une mouche.

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[chin@ill]

Jolie carnation en effet

[Tom]

[center]Philodrome sur Crassula streyi.

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[Guillaume]

Pas mal, belle macro

[chin@ill]

Oh, un heptapode

[Bernard74]

Ah oui , 7 pattes cette araignée ! ?
Ici, Bull est sorti de sa longue sieste de 3 mois mais il préfère encore rester au chaud entre les pattes de sa copine Caline !

[Tom]

[center]Incroyable comme Falco tinnunculus reste statique face au vent d'est !

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[Tom]

[center]L'accouplement des araignées est particulier, voici celui de mon espèce favorite : Saitis barbipes.

Le couple est tête-bêche.
Notez le dimorphisme sexuel très marqué, si bien que le descripteur Eugène Simon crut d'abord avoir affaire à deux espèces distinctes.




Le mâle, auparavant, a récupéré son sperme qu'il a fixé sur ses pédipalpes (appendices buccaux) ;
il n'a plus qu'à le placer là où il faut, à condition que la femelle soit consentante, bien sûr.
C'est fait ! Madame a la goutte au cul.

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[chin@ill]

Aaah les araignées!
Je vis un soir d'automne 2020 au balcon une effrayante tégénaire marron clair qui faisait bien dans les 7/8 cm avec les pattes: je me souviens alors m'être étonné de trouver telle créature en extérieur, et qui plus est en étage, cependant comme Pholcus vit et passe l'hiver sur ce même balcon la chose n'était pas tout à fait impossible...
En arrosant les grandes sarracénies tantôt, j'ai vu un "bloc de sphaigne" s'animer doucement et exhiber deux gros chélicères: depuis tout ce temps elle était donc là, planquée dans la grosse tourbière, a sans doute profiter de l'humidité à l'abri de la mousse et des proies que les urnes survivantes des Sarracenia attirent durant tout l'hiver!
Je n'ai pas voulu la déranger pour la photo, je préfère lui laisser croire que je ne l'ai pas repérée...