Bulbe et rhizome

Chez moi, c'est le géant Lilium henryii qui s'ouvre avec lenteur:







Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/06/22 11:54 par chin@ill.

C'est bon, ça, de se hâter avec lenteur.
Et si, de surcroît, les segments du périanthe sont papilleux...

Ah ça, pour être papilleux ils le sont, je crois même que c'est l'espèce la plus papilleuse comme le montre cette image hélas floue du fait du balancement prononcé de la tige:

A égalité peut-être avec Lilium speciosum, qu'il faudrait que je re-cultive l'an prochain...

L'ail de Naples, enfin... du jardin.




Dans le maquis : chasmanthe, freesia, scille...










et l'ophrys brun.

Joli, dommage de ne pas pouvoir sentir les Freesia
Au balcon, quatre pieds de Narcissus cyclamineus sur les cinq que j'avais ont survécu à l'été 2022...pas si mal pour une espèce à tropisme océanique!
Plantée dans un large pot à réserve d'eau en compagnie de N.poeticus, Lilium henryie et L.pumilum, cette espèce botanique naine (guère plus de 5 cm de haut) souffrira moins de la chaleur estivale si intense dans nos vallées alpines...
Voici l'unique pied en fleur:






Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/03/23 18:52 par chin@ill.

Il existe un lis vivant dans la tourbe détrempée, le seul de ce genre à supporter l'eau en permanence et aussi l'un des rares qui soit calcifuge.
Ayant trouvé par hasard un bulbe de ce singulier Lilium catesbaei j'ai voulu, malgré un prix assez élevé et sans trop y croire tant la plante est réputée difficile, voulu tenter dans la tourbière des grands Sarracenia.
Et voici que sort effectivement une pousse, malgré des semaines dans l'eau acide:

J'ai investi dans un second bac à réserve d'eau plus petit (à gauche) afin d'éviter le pourrissement de mes deux Lilium pomponium survivants + trois autres récemment acquis à grand peine, ces plantes méditerranéennes allant chercher l'eau très loin pourront cette fois plonger leurs racines dans l'eau sans que les bulbes ne pourrissent:

Tous mes bulbes, sauf Lilium catesbaei, y sont désormais cantonnés.
Dans le plus gros bac ressortent dans les coins les Lilium pumilum maintenant au nombre de quatre, puisqu'un bulbe s'est malgré tout scindé en deux alors que je les ai tous laissé grainer abondamment, ce qui était censé les épuiser:



Il y a outre Narcissus cyclamineus des N.poeticus, et des Cyclamen cilicicum arrivés ce jour.
Rendez-vous en avril pour les narcisses blancs et en mai pour une myriade de turbans rouges, et sans doute en septembre pour les cyclamen



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/03/23 14:52 par chin@ill.

Narcissus poeticus, Lilium pumilum et le gros L.henryie, qui m'a formé une touffe de tiges:

Le vulgaire Nothoscordum x borbonicum sent drôlement bon, pour un « ail » !

Un ail sensu lato, ceci expliquant sans doute cela
Ici c'est Lilium tenuifolium qui règne en monarque chez les bulbes:

Les trois plus gros individus à l'apogée de leur floraison, avant la formation de leurs fruits:

Les traditionnels Amaryllis

Très jolis ces Hippeastrum hybrides
Chez moi les lis de Henry s'épanouissent, la tige principale dépasse largement le mètre:


Cette espèce très vigoureuse et à grand développement n'est pas idéale pour un balcon, mais je verrai bien...

On n’est plus dans l’univers PG, mais ça me plait aussi, les fleurs sont belles ;-)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/07/23 21:45 par Guillaume.

Merci Guillaume, oui, car mon balcon ombragé est propice à la culture d'autres plantes
En raison de l'alerte météo d'hier je l'ai mis sous le balcon temporairement, et j'en ai profité pour photographier de plus près cette force de la nature qui en l'espace d'une année est passée de une à douze tiges: